Mode de 1950, le bon chic

bon chic

Soyez belle – 1950

Le bon chic c’est à la fois le bon ton et le chic, c’est à dire l’élégance.

Je vous propose les 20 première idées à la mode de l’année 1950.

Transposez-les aujourd’hui. Trouvez 20 vêtements que vous portez ou voudriez porter et qui vous semblent aujourd’hui représenter le bon chic.

En tout cas, régalez-vous en vous imaginant dans les tenues bon chic de 1950 ci-dessous.

– le trench-coat américain en satin tendre, rose de préférence se porte le matin au saut du lit, avec des pantoufles de cuir verni noir (surtout pas des mules);

– la jupe écossaise en lainage à fond rouge, froncée autour de la taille s’arrête entre le mollet et la cheville. C’est une jupe de petit dîner;- Le chapeau d’homme, posé un peu sur le côté est en satin noir se porte avec un tailleur noir en guise d’habit;

– le pull tout simple, col ras du cou, manches montées, assez long, cachemire caramel, porté avec une jupe de flanelle gris foncé;

– le foulard hindou, écharpe double en précieux sarah de soie imprimé de dessins cachemire, on le croise sous le menton, un pan reste libre et l’autre est prisonnier dans la ceinture;

– la robe très tailleur en popeline de laine noire, droite, à double boutonnage du col à l’ourlet de la jupe, ceinture de cuir;

– les gants de satin évêque arrivent jusqu’aux coudes. Le fin du fin est de laisser apercevoir dans le décolleté de la robe noire, le soutien-gorge en même satin;

– le manteau plat en vigogne, droit, poches plaquées, col tailleur, boutonné jusqu’en bas;

– l’unique rang de perles, de vraies perles bien sûr;

– le fichu d’hermine, tout petit, cache le décolleté de la robe du soir;

– la jupe à quatre épaisseurs de tulle, tulle noir puis rose, puis vert puis jaune, la bonne à tout faire des soirées;

– la rose noire sur robe blanche, une vraie rose noire bien sûr à mettre dans le creux du décolleté;

– le bonnet de Méphisto, calot de satin rouge avec deux avancées pour les oreilles, à porter bien en arrière;

– le blouson en bure amadou, jaune poussin, taillé à la façon du blouson américain (n’oubliez pas on est en 1950!), avec deux grosses poches plaquées sur la poitrine;

– la robe chemiser en radzimir, noire, plis creux devant, pli creux derrière, petit col et cravate, quatre poches sur le devant. Parfait pour aller dîner chez Maxim’s;

– le décolleté en bain de soleil couvre le devant du corsage et laisse le dos nu, en satin bleu canard avec une canadienne en même satin;

– le veste en daim mordorée, raglan avec 4 boutons de vieil argent et grosses poches plaquées, pas de col mais une patte en bordure, se double de lainage jaune citron;

– le faux boléro en zéphire, crocheté dans une laine très fine blanche, c’est une écharpe froncée dans le dos qui couvre le haut des bras;

– le poignet en vison sur un manteau bleu vif, taillé comme un pardessus d’homme;

– la jupe en nylon rose pour aller au bal, courte, en forme, corsage en organdi blanc.

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