Nénuphar © Secrets de plantes
Trop d’excitation sexuelle ou pas assez, frigidité, impuissance
Les troubles sexuels sont très sensibles aux facteurs psychiques.
En cas de troubles sexuels, consulter un médecin pour vérifier qu’il n’y a pas de causes fonctionnelles.
Les plantes ne rendront pas un partenaire plus séduisant, mais elles peuvent faciliter la circulation sanguine, améliorer un état dépressif ou calmer une trop grande fougue. Sujet délicat!
Pour calmer une trop grande excitation sexuelle
Ingrédients:
nénuphar 20 g
chatons de saule 20 g
valériane 20 g
douce-amère 20 g
houblon 20 g
Amener à ébullition 1 cuillerée à soupe de ce mélange pour une tasse d’eau.
Boire 3 tasses par jour dont la dernière avant de se coucher.
Ou plus simplement, décoction anaphrodisiaque de nénuphar
Ingrédients :
fleurs de nénuphar blanc
30g pour 1 litre d’eau
Prendre à la raison d’1 tasse avant chaque repas
Ou rhizome frais de nénuphar, râpé :
1 cuillerée à soupe par tasse
Faire bouillir 5 minutes.
Frigidité
Votre compagnon s’occupe-t-il bien de vous?
Vous pouvez vous aider avec la préparation suivante:
Faire bouillir 1 litre de vin muscat, le verser sur 80 g de sauge sèche (qui contient un phyto-oestrogène).
Laisser macérer jusqu’à refroidissement. Mettre au frais et attendre 3 jours pour filtrer.
Boire un petit verre avec le repas du soir.
Ne pas prolonger ce régime plus de 6 mois.
Impuissance
Votre compagne s’occupe-t-elle bien de vous?
Vous pouvez cependant vous aider avec des préparations aphrodisiaques et qui favorisent la circulation sanguine:
roquette 20 g
berce 30 g
sarriette 10 g
ortie piquante 10 g
romarin 10 g
menthe 10 g
ache 10 g
Verser une tasse d’eau froide sur 1 cuillerée à soupe de ce mélange.
Porter à ébullition, retirer du feu immédiatement et laisser infuser 10 minutes.
Boire 2 tasses par jour dont la dernière au coucher.
Si vous sucrez, sucrez au miel.
La berce, jadis appelée branc-ursine (patte d’ours), serait, selon les expériences du Dr H. Leclerc un des meilleurs aphrodisiaques de notre flore.
On l’emploie dans les cas d’asthénie génésique, en alcoolature.